Chacun ne réagit pas de la même façon face à la souffrance psychologique. La décision d’entreprendre une psychothérapie peut dépendre de plusieurs facteurs mais c’est habituellement pour mettre fin à un mal de vivre que l’on ressent face à soi-même ou face aux autres que l’on entreprend une telle démarche. C’est parfois aussi pour répondre à certaines questions auxquelles on ne trouve pas de réponse et qui nous reviennent régulièrement. Par exemple, une personne peut se demander souvent pourquoi elle ne se sent pas satisfaite de ce qu’elle entreprend ? Ou encore, une autre, peut se demander ce qui fait qu’elle se retrouve toujours dans des relations insatisfaisantes avec les autres ? Les exemples peuvent être multiples et prendre toutes sortes de chemin. L’important, c’est d’arriver à prendre la décision que l’on veut changer certains aspects de sa vie. À ce moment-là, en discuter avec le psychologue lors d’une, ou de quelques rencontres préliminaires, pourrait être un moyen de vérifier si la psychothérapie vous convient et si ça peut vous apporter un bienfait.

Oui bien sûr ! Et surtout lorsqu’on a l’impression que notre enfant vit des difficultés qui le dépasse et qu’il n’arrive pas à trouver des solutions à ce qui lui arrive malgré notre aide ou celle de l’école. Il peut être maussade au point de perdre tout intérêt à ses activités habituelles. Ou encore, il peut ne plus s’entendre avec ses amis et se replier sur lui-même avec le temps. Ce sont là quelques exemples seulement des difficultés qu’un enfant est susceptible de vivre au cours de sa vie. Il y en a évidemment beaucoup d’autres. Mais une chose est sûre. Les enfants manifestent habituellement leur malaise autrement qu’en utilisant des mots comme les adultes. La psychothérapie psychanalytique est un moyen de les aider à mieux se comprendre et à retrouver éventuellement le chemin normal de leur développement. Elle utilise alors des outils privilégiés comme le jeu et/ou le dessin plutôt que l’échange « verbal »uniquement dans le but de créer un climat de confiance qui soit propice à l’échange.

Dans une famille, un malaise important peut être ressenti par une ou plusieurs personnes et durer depuis longtemps. Ce malaise peut parfois être si sérieux que tout le monde en souffre. À d’autres moments, il peut survenir une crise que personne n’avait vu venir et qui affecte tout le monde à des degrés divers. On consulte généralement en famille lorsqu’on a le sentiment que chacun est concerné par « le problème ». Ce problème peut parfois être davantage celui de l’enfant, de l’adolescent ou du parent. L’important est que chacun se sente affecté par la difficulté ou le malaise et que tous accepte de participer au processus thérapeutique.

Parmi mes autres services, j’offre de la supervision de groupe ou individuelle.